« Qu’est-ce qu’une marque? Une idée ou un concept qui vous appartient dans l’esprit des clients potentiels… » — Al Ries
« La marque, c’est votre cri “À MOI!” »
— Michel A. Di Iorio
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LES COULIS de SAGESSE
LA MARQUE SE PRÉCISE…
Une réflexion empirique à l’attention des travailleurs autonomes actuels et en devenir,
signée Michel A. Di Iorio.
LA MARQUE se précise, se psychanalyse, et se vocalise… enfin! Je ne vous ai pas expliqué « le pourquoi » de la marque dans mes propos des dernières semaines. J’approfondissais les bases d’un concept de marque dans le contexte de mes propres affaires, soit une démarche demeurée inachevée, parce que même si mon projet d’écriture prenait forme, il ne put prendre son plein envol, étant en quelque sorte « cloué » au sol. J’ai entrepris de suivre mes propres conseils en effectuant un retour sur la Toile afin d’y proposer ma bonne vieille « salade traditionnelle », bien que présentée pour la circonstance dans un nouvel emballage, dispo en plusieurs essences populaires; une allure R-E-N-O-U-V-E-L-É-E, quoi!
Ceux qui me suivent depuis les deux ou trois dernières décennies se demanderont peut-être si le vieux ne serait pas encore tombé en bas de sa chaise, mais non, je vous assure que « NON! ». J’ai les fesses bien appuyées au fond de ma chaise, je vous le dis, je vous le jure. Mais, je vous assure… oui… OUI, je vous A-S-S-U-R-E…
Si vous avez suivi l’évolution de cette chronique durant ces dernières semaines, j’identifiais, dans le cadre de mes réflexions hebdomadaires, la tendance inquiétante observée de fermer les portes d’entreprises viables pour comme seule raison qu’elles n’avaient pas de relève qualifiée pour garantir leur survie ni la suite. Je vous expliquais combien l’impact risquait d’être important pour l’économie si cette tendance prenait davantage d’ampleur. Je ne tire pas ces histoires d’un chapeau, vous savez? Elles regorgent de vérités et de leçons que je partage volontiers pour aider à mettre les choses en perspective.
Jusque-là vous allez sans doute me dire, « pas de problème », mais comme je disais la semaine dernière, le virage technologique a complètement changé les règles du jeu, et ça demande une adaptation.
Pour vous mettre au parfum de mon parcours d’une trentaine d’années en communication, j’ai écoulé la première décennie en imprimeries, publicité et marketing. Les deux dernières furent principalement orientées vers les services de rédaction et de traduction que j’offrais sur mon site Web principal (LES MOTS JUSTES).
Au fil du temps, mon offre engloba une panoplie de services connexes, et c’est à l’usage que j’ai enfin compris que ça pouvait être déconcertant pour une clientèle à la recherche d’un service précis. J’ai donc entrepris de faire le ménage là-dedans, mais plus j’époussetais, plus je tournais en rond, car je suis allergique à la poussière…
La gaffe, et la solution…
La gaffe, si elle existe, est de suivre l’exemple de nos ancêtres, et de retomber dans le créneau des magasins généraux, où tout se retrouve sous un même toit. Pourquoi? Parce que ça ne marche plus! Il y eut un temps où le consommateur fut attiré par le concept du magasin général, car tout se trouvait au même endroit. Comme bonis, cela comportait un avantage non négligeable, car le commerçant était aussi un voisin dont la fortune était intimement liée à celle de ses clients. Il y avait des bénéfices à tirer à faire affaire avec son voisin, comme le crédit maison, le service à la clientèle, et bien sûr, l’honnêteté.
Mais, tout ça a changé avec l’arrivée d’Internet. Les habitudes de consommation étant en mutation, les commerces doivent emboiter le pas et embrasser cette bourrasque, sinon l’avenir nous réserve de méchantes tempêtes. À moins d’avoir la tête enfouie dans le sable, tout le monde a déjà entendu parler des marchés que sont devenus des entités comme Facebook, Twitter, Linked-In, Ebay, Amazon, Kijiji, et etc., n’est-ce pas? Saviez-vous que plus de 8 milliards de dollars se sont dépensés sur Internet l’an dernier… et ça, juste par des Québécois? Incroyable, n’est-ce pas? C’est pourtant la dernière tendance, et elle augmente de façon importante chaque année, alors il nous faut faire de quoi si on ne veut pas manquer le bateau. Il faut trouver un moyen de profiter de cette manne, car la loi de Murphy est claire… « si toi, tu ne le fais pas, un autre le fera à ta place… », alors je plonge!
J’ai divisé mes services en bouchées thématisées, dont chacune fût marinée à l’essence de l’heure, et harmonisée aux services déterminés de sa palette, même s’ils sont tous plus ou moins reliés les uns aux autres (services de communication). Je me suis penché sur les tendances du marché (un peu comme chercher un local commercial pour y ériger un commerce), et la formule que j’ai retenue pour réaliser mon concept est disponible ici même, au Québec. J’ai assisté à une soirée-conférence, après quoi j’ai adhéré au concept d’édification de boutiques virtuelles dans le confort accueillant d’un centre d’achats virtuel, situé au Québec. J’ai donc lié mon offre de services connexes aux fortunes du chroniqueur techno populaire, M. François Charron, via son projet qui s’intitule « Branchons les PME », et le plus grand centre d’achats virtuel au Québec, soit Shoooping.ca.
Pour le reste, je laisse la chance au coureur…
Mot de la fin…
Bien évidemment, le coureur, c’est encore et toujours moi… mais j’ai adhéré au concept de boutiques spécialisées dans le contexte d’un centre d’achats virtuel, d’autant plus qu’il est au Québec, pas en Ontario, ni aux États-Unis ni en Europe. Il est ici, et ça, ça me plait.
En faisant ce grand ménage, je suis tombé sur un vieux billet dans lequel je prêchais que nul n’est prophète dans son pays, mais je commence à changer d’avis. Si Amazon, Ebay, Kijiji et compagnie peuvent y trouver leur compte, pourquoi pas nous? Nous ne sommes pas plus fous que nos voisins, et notre consommation ne risque pas de diminuer de sitôt, alors je crois que je vais adhérer à la manne québécoise. Je vous tiendrai au courant de son évolution dans le cadre de cette expérience.
Mon projet de rationalisation de services est fondé sur la création de trois boutiques spécialisées, et d’une maison d’édition dont les services, bien qu’intimement reliés aux services des boutiques, sont indépendants les uns des autres. Les mots justes, et le magazine LA COULISSE poursuivront leurs missions respectives depuis leur situations actuelles pendant la période de rôdage.
Pourquoi je vous parle de tout ça? Parce que je veux partager cette aventure avec vous qui suivez l’évolution de LA COULISSE assidûment depuis sa création. Je veux vous montrer qu’il est encore possible de réussir sans se prosterner devant les banquiers. Je crois qu’il faut prendre les moyens pour arriver en ville en même temps que les autres, et je n’ai pas l’intention de manquer le bateau, que voici… la première boutique est terminée, et se nomme tout simplement CVsimple. Son argument clé de vente est la préparation professionnelle de vos documents de recherche d’emploi, en tenant compte de vos qualifications et de l’emploi convoité, le tout à prix accessible.
Je vous parlerai plus en détail des 3 autres entités mentionnées dès leur mise en service. La deuxième boutique sera opérationnelle d’ici la fin du mois de novembre 2016 (environ 3 semaines). Je reviendrai sur la question de la marque, car chaque boutique présentait une problématique particulière que je vous dévoilerai dans les semaines et mois à venir. Je vous remercie à l’avance pour votre indulgence.
Merci de m’avoir lu. Je vous souhaite une bonne réflexion, et une bonne vie!
Michel A. Di Iorio, fondateur de LA COULISSE
Partager mon « X »
Je veux partager mon « X » avec vous qui suivez l’aventure du magazine LA COULISSE depuis son lancement en 2013! Pour y arriver, je vous offre par l’intermédiaire de mes billets hebdomadaires des liens utiles vers des outils pratiques en ligne, et un véhicule pour distribuer votre histoire parmi les travailleurs autonomes actuels et en devenir. Que ces derniers se retrouvent sur Linked-In, Facebook, Twitter, Google+, Pinterest, Reddit, Tumblr ou Pocket, LA COULISSE y cultive une présence en y publiant des billets hebdomadaires, des billets occasionnels signés par ses membres contributeurs, ainsi que des anecdotes tirées du vécu.
À titre d’information, le magazine LA COULISSE double son lectorat chaque année depuis sa fondation. Le magazine s’adresse à un lectorat varié, qui inclut des travailleurs indépendants actuels et en devenir, des journalistes, des chasseurs de têtes, des professionnels, des représentants de divers ministères, des chefs d’entreprise de toutes tailles, des annonceurs, des représentants de compagnies de publicité, des artistes, des paramédics, des policiers, des pompiers, des fonctionnaires, etc.
Je vous offre donc un lectorat sérieux qui ne demande qu’à lire vos histoires, que je vous invite à me soumettre en cliquant d’abord sur les critères de sélection. Une fois que vous aurez pris connaissance de ces critères, vous n’aurez qu’à me transmettre votre texte par courriel, en prenant soin d’inclure vos coordonnées afin que je puisse communiquer avec vous, au besoin. Veuillez noter que je ne communiquerai qu’avec les auteurs dont les histoires auront été retenues.
Ah oui, j’allais oublier… cette opportunité de partager mon « X » vous est offerte sans frais!
J’ai hâte de vous lire…
Qu’en pensez-vous?
Tout le monde a une histoire à raconter. Si vous désirez partager les opportunités qui ont marqué votre parcours, écrivez-moi à info@lacoulisse.ca, ou sur les réseaux sociaux. N’ayez crainte, il me fera plaisir de vous répondre avec diligence. Votre histoire pourrait aider un travailleur autonome en devenir, alors je vous invite à la partager avec nous dans LA COULISSE.
Je vous souhaite une bonne réflexion, des affaires prospères, et une abondance de poussières de bonheur!
N’hésitez pas à commenter la présente réflexion, et à partager ce lien avec vos amis et collègues.
Michel A. Di Iorio
Rédacteur en chef et fondateur de LA COULISSE
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N.B. L’utilisation du genre masculin a été adoptée afin de faciliter la lecture et n’a aucune intention discriminatoire.
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