Désir ou destin
« On a le regret bien plus long que n’a été le désir. »
— Anne Barratin
« Quand tu ne carbures qu’à ça, quand la vie n’est plus envisageable sans ça... c’est quand tes tripes se tordent à te donner des sueurs froides avant de les transformer en jolis papillons! »
— Michel A. Di Iorio
Les COULIS de SAGESSE
Une réflexion empirique à l’intention de travailleurs autonomes actuels et en devenir,
signée Michel A. Di Iorio
Alors que nous n’étions que des gamins, tout était simple… TOUT ÉTAIT SIMPLE! C’était tellement plus simple que nous avions dû introduire le drame dans l’équation juste pour y ajouter du piquant… ah, je vois que vous savez de quoi je parle, ce qui m’offre une idée plus précise de votre âge, mais n’ayez crainte, « Motus, et bouche cousue… »
Si vous me suivez toujours, nous n’avions comme modèles domestiques que les membres de notre propre noyau familial (pas toujours le meilleur exemple), nos voisins, les voisins de nos voisins, qui possédaient chacun des noyaux familiaux composés de gens qui ont chacun au moins un voisin, les voisins de leurs voisins, les voisins de leurs voisines… mais, je ne vous apprends rien en vous racontant que cela, n’est-ce pas? De toute manière, tout était simple. Comme je suis un homme, je vais vous raconter la simplicité de l’énigme avec un minimum de mots.
On avait, mettons… beaucoup de jolies cousines à Ville Saint-Michel, et de l’autre côté on avait autant de mononcles qu’on ne connaissait pas. Pour les besoins de la cause, le « Street Sense » nous apprenait assez vite comment regarder sans voir, et comment écouter sans entendre. C’était une monnaie d’échange pour l’obtention de faveurs en retour de sa discrétion, une qualité que nous avons maîtrisée.
Quand nous étions petits, les motivations profondes des uns et des autres étaient à peu près les mêmes que les nôtres, comme elles le sont maintenant et le seront toujours. C’était tout du pareil au même. Rien n’a vraiment changé; on ne voulait, ou on ne voulait pas, et c’était suffisant pour nous faire bouger, ou pas, selon l’appât tendu (n’ayons pas peur des mots). Les raisons qui nous poussaient à agir importaient peu, mais elles faisaient l’affaire. Elles obtenaient les résultats convoités.
Quand nous étions petits, on nous bousculait, on nous déstabilisait avec les attentes de nos parents, profs, amis, de la communauté à laquelle on nous disait appartenir, mais qui nous ressemble de moins en moins. Aujourd’hui, ces personnes-là contrôlent notre quotidien, comme ils l’ont fait durant nos années « fragiles ». Et le « flip side » des attentes (réelles ou imaginaires) qu’auraient eues nos glorieux (héros) à notre égard (les noms à qui nous aurions voulu que notre propre nom soit associé) venait s’ajouter au reste, mais en toute franchise, je ne vois pas de quoi se stresser.
Quand nous étions petits, nous apprenions la différence entre le chaud et le froid, le sucré et le salé, entre ce que nous souhaitions, et ce que nous craignions, et enfin entre la victoire et la défaite. Mais, on ne peut tous être des shérifs en même temps, alors des choix s’imposaient.
Quand nous étions petits, la différence entre le destin et le désir se tranchait par l’intensité à laquelle se vivait une déception. Il s’agit ici d’une question de tripes versus un trip d’émerveillement. Pensez, je vous prie, aux crampes abdominales que ressentirait votre tordeur au bout de 24 heures sans avaler le moindre morceau. Maintenant, songez aux douleurs que ressentirait votre vieux tordeur au bout de 48 heures sans de quoi à vous mettre sous la dent. Pendant ce jeûne forcé, vos compagnons de travail, eux, n’ont pas à se priver devant vous.
Pensez maintenant aux souffrances que vous auriez à endurer en vous faisant annoncer qu’au lieu de manger du bœuf bourguignon ce soir, vous mangeriez une salade du chef. Voici la véritable différence entre le désir et le destin pour le travailleur autonome, soit l’inconfort d’une déception temporaire (comme une crise de bébé chez Walmart, genre « DEFCON 4 », mais, tout est encore sous contrôle), ou le destin qui s’ingère dans votre vie par les tripes qui s’entortillent autour de votre colonne juste pour vous rappeler que vous êtes dorénavant un homme surveillé, genre « DEFCON 1 ».
Le désir crierait à l’injustice, saisissant l’opportunité pour s’attirer la sympathie et l’attention. Lorsque le désir aurait enfin épuisé ses dernières réserves d’énergies, le destin s’accomplirait comme il se doit…
Si vous l’avez manqué, relisez le paragraphe ci-dessus. Il s’agit de deux petites phrases…
Les mots justes… un rappel amical!
La gaffe, et la solution…
La gaffe, si elle existe, est de dépenser sa vie à attendre le « meilleur moment »… celui qui n’arrive jamais, car le suivant est peut-être plus beau, plus fort, plus intelligent, plus riche… vous aurez compris que ce genre de personne n’est pas très sérieuse. Ce ne sont que ses désirs du moment qui priment.
La solution est de croire en soi-même (croire en ses tripes), en son offre de service, ainsi qu’en son réseau, et de ne pas hésiter à le mettre à l’épreuve le moment venu. C’est sa raison d’être. Son réseau possède le pouvoir de paver le sentier de notre réussite, à condition d’y croire, et d’y participer avec bonne foi, intégrité et confiance au principe de la réciprocité.
Il y a moyen de mettre les chances de notre côté en nous préparant adéquatement, tout d’abord, et en évaluant la pertinence des outils et liens offerts ICI.
C’est à vous de choisir…
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Mise en garde
Prenez garde de ne pas laisser votre témérité mettre la sécurité de vos proches ni la vôtre en péril, car il n’existe aucune police d’assurance contre l’échec, et le parcours du travailleur autonome est parsemé d’embûches contre lesquelles vous feriez mieux de vous préparer.
Il n’est pas de mon intention d’endosser un quelconque service ou organisme en rédigeant ce billet. Mon intention fut de vous soumettre ma perspective sur les questions soulevées, et de vous offrir quelques pistes de solutions pour vous aider à voir plus clair.
Voilà l’essentiel de ma réflexion. Je vous souhaite la sagesse de Confucius, la vision de Murphy, la chance de Midas, et le temps de vous tricoter le succès que vous convoitez.
Pour les travailleurs autonomes en devenir ou actuels, je vous offre les liens ci-dessous pour vous aider dans vos démarches de recherche.
Mot de la fin… (RESSOURCES)
Pour vous aider dans vos recherches, LA COULISSE met à votre disposition une multitude de liens vers des sites de ressources légales, gouvernementales, techniques, financières, outils en ligne… ICI, ICI et ICI! L’accès vers ces ressources depuis notre site Internet est offert gratuitement, et n’arrêtez pas de lire, car les sections ci-après offrent des outils supplémentaires.
Voilà, c’est à vous de jouer maintenant!
Merci de m’avoir lu. Je vous souhaite une bonne réflexion, une démarche fructueuse, et surtout… une bonne vie!
Michel A. Di Iorio, fondateur de LA COULISSE
Qu’en pensez-vous?
Tout le monde a une histoire à raconter. Si vous désirez partager les opportunités qui ont marqué votre parcours, écrivez-moi à info@lacoulisse.ca, ou sur les réseaux sociaux. N’ayez crainte, il me fera plaisir de vous répondre avec diligence. Votre histoire pourrait aider un travailleur autonome en devenir, alors je vous invite à la partager avec nous dans LA COULISSE.
Je vous souhaite une bonne réflexion, des affaires prospères, et une abondance de poussières de bonheur!
N’hésitez pas à commenter la présente réflexion, et à partager ce lien avec vos amis et collègues.
Michel A. Di Iorio
Rédacteur en chef et fondateur de LA COULISSE
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N.B. L’utilisation du genre masculin a été adoptée afin de faciliter la lecture et n’a aucune intention discriminatoire.
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