« L’opportunité, c’est l’instant précis où l’on doit recevoir
ou faire quelque chose.» — Platon

« Tu parles d’une drôle d’idée… »
— Michel A. Di Iorio

MISSION de LA COULISSE

Une réflexion sur le travail indépendant, sur la vente, et le service à la clientèle… signée Michel A. Di Iorio.

De bien drôles d’idées, mais…

(Temps de lecture = moins de 4 minutes)

QUI a dit que ça prenait des diplômes longs comme le bras pour avoir du succès comme entrepreneur? Ce sont de bien drôle d’idées, mais sans vouloir choquer personne, le succès ne découle jamais que d’une vulgaire petite feuille de papier encâdrée/accrochée sur votre mur là, juste derrière votre tête. Un diplôme, de nos jours, s’apparente pour plusieurs à un genre de trophée pour appuyer le franchissement de la ligne d’arrivée de l’épreuve que fut leur formation; une forme de reconnaissance, quoi!

Un diplôme sur le mur peut bien contribuer à impressionner ou à intimider votre interlocuteur, à défaut de quoi il peut prêter du caractère à l’antre de votre génie, en supposant qu’il y a du génie dans l’antre, bien évidemment. Mais, à lui seul, le diplôme ne garantira pas la profondeur de votre dévouement ni à la cause ni à la problématique de votre client.

Bien que les diplômes peuvent représenter un cheminement académique et/ou professionnel considérable, ce ne seront pas nécessairement eux qui pèseront les plus lourds dans la balance pour le client. Comme pour le prix exigé, les diplômes rassurent la clientèle que vous avez fait votre temps sur un banc d’école pour apprendre ce que vous faites, mais ce seront votre intégrité et votre réputation qui le convaincront que vous êtes l’homme (ou la femme) de la situation. À eux seuls, ces deux atouts valent leur pesant d’or. Votre intégrité et votre réputation seront des atouts déterminants pour votre succès. Ça vaut donc la peine d’y mettre autant d’énergie que pour l’obtention de vos qualifications.

De nos jours, l’entrepreneur s’apparente plus à un artisan qu’à un commerçant/détaillant. L’intervention de l’entrepreneur/pourvoyeur de services implique généralement un élément de création, sculptage, façonnage, réparation et/ou d’expertise, soit une bonne dose de soi-même, de ses habiletés, son expertise et de son jugement pour résoudre la problématique particulière du client. Contrairement au commerçant, dont le bilan de réussite dépend principalement du nombre d’unités vendues, les bilans respectifs de l’entrepreneur et de l’artisan s’évaluent à l’aide de barèmes qui dépassent le simple nombre d’unités vendues par un quelconque commis/vendeur/agent/associé. La plupart des magasins de grandes et moins grandes surfaces ont troqué la qualité des solutions offertes en échange de la commodité, la variété, et ultimement le prix demandé au client en échange des solutions proposées…

QUELQUES IDÉES À DÉVELOPPER…

J’ai toujours préconisé que le secret de la réussite en affaires découlât de la fourniture de produits de qualité et de solutions efficaces, le tout dans un climat de confiance, de respect, et d’accessibilité pour le client, sans devoir courir après ses recevables. D’un autre côté, j’ai toujours déploré le manque de vision des gouvernements au niveau des produits recyclables qu’ils enfouissent dans le sol de la planète que nous habitons.

Dans cette optique, j’ai laissé aller un peu mon imagination pour identifier quelques ajouts à ma liste d’idées à développer… comme :

Recycler le caoutchouc (semelles usées de pneus) pour en faire des semelles et des attaches de gougounes, des semelles de souliers, des tapis bon marché, des pellicules étanches pour la construction, des planchers de garages, produits de recouvrement de planchers de magasins et entrepôts de grande surface,
recycler le caoutchouc (carcasses de pneus usés) dans le mélange d’asphalte utilisé pour la confection de nos routes,
recycler le caoutchouc (carcasses de pneus usés) pour la confection de courroies d’automobiles, courroies mécaniques et électriques de toutes sortes, enduits isolants pour fils électriques, pour les toitures,
recycler le caoutchouc (carcasses de pneus usés) pour recouvrir le sol des sous-sols de maisons, ainsi que les murs de ciment sous le niveau du sol,
recycler la vitre que nous enfouissons en l’incorporant (en poudre) dans nos mélanges d’asphaltes et de ciments,
commencer à penser aux défis des infrastructures de demain, surtout en ce qui concerne des domaines comme la fourniture d’eau potable, les véhicules et les routes de demain. Il faut sortir de nos zones de confort afin de prendre conscience du défi véritable qui nous attend dans le tournant,
arrêter de gaspiller des ressources qui polluent notre environnement au point de la rendre non-habitable en recyclant les vidanges perdurables pour répondre aux besoins des infrastructures futurs,
faire preuve d’un peu de vision, un peu d’imagination, et beaucoup de volonté,
et enfin… arrêter de remettre à demain ce qu’on aurait dû faire hier.

C’est ça qu’on devrait laisser aux générations futures comme héritage…

Les mots justes… un rappel amical!

LA GAFFE ET LA SOLUTION…

La gaffe, si elle existe, est de faire à semblant qu’il n’y a pas de problèmes en balayant le tout sous le tapis… ah oui, j’oubliais qu’il n’y en a pas encore de tapis. Nous balayons nos ordures aux quatre vents…

La solution, quant à moi, consiste à se pencher sur les ressources qui existent en grande quantité aujourd’hui pour en faire un outil et une ressource de choix pour les besoins de demain…

La contrainte, si contrainte il y a, est de penser qu’on a tout notre temps pour réagir; que la planète nous attendra.

Mon opinion personnelle — Même si les idées mentionnées ne sont pas toutes nouvelles, la problématique y est depuis belle lurette, et le sablier commence à se vider. Les Bill Gates, Steve Jobs, Elon Musk, Mark Zuckerberg, Sir Richard Branson et autres milliardaires feraient bien de se pencher sur cette problématique qui nous attend, et à défaut de s’en occuper, ce sera à nos nouveaux petits génies de trouver les solutions qui, tout en servant l’intérêt général, feront d’eux les milliardaires de demain.

Aux futurs entrepreneurs, il y a toujours moyen de mettre les chances de réussite de votre côté en vous préparant adéquatement tout d’abord, et en évaluant la pertinence des outils et liens qui vous sont offerts ICI.

Mise en garde

Prenez garde de ne pas laisser votre témérité mettre la sécurité de vos proches ni la vôtre en péril, car il n’existe aucune police d’assurance contre l’échec, et le parcours du travailleur autonome est parsemé d’embûches contre lesquelles vous feriez mieux de vous préparer.

Il n’est pas de mon intention d’endosser un quelconque service ou organisme en rédigeant ce billet. Mon intention fut de vous soumettre ma perspective sur les questions soulevées, et de vous offrir quelques pistes de solutions pour vous aider à voir plus clair.

Voilà l’essentiel de ma réflexion. Je vous souhaite la sagesse de Confucius, la vision de Murphy, la chance de Midas, et le temps de vous tricoter le succès que vous convoitez.

Pour les travailleurs autonomes en devenir ou actuels, je vous offre les liens ci-dessous pour vous aider dans vos démarches de recherche.

Mot de la fin… (RESSOURCES)

Pour vous aider dans vos recherches, LA COULISSE met à votre disposition une multitude de liens vers des sites de ressources légales, gouvernementales, techniques, financières, outils en ligne… ICI, ICI et ICI! L’accès vers ces ressources depuis notre site Internet est offert gratuitement, et n’arrêtez pas de lire, car les sections ci-après offrent des outils supplémentaires.

Voilà, c’est à vous de jouer maintenant!

Merci de m’avoir lu. Je vous souhaite une bonne réflexion, une démarche fructueuse, et surtout… une bonne vie!

Michel A. Di Iorio, fondateur de LA COULISSE

Qu’en pensez-vous?

Tout le monde a une histoire à raconter. Si vous désirez partager les opportunités qui ont marqué votre parcours, écrivez-moi à info@lacoulisse.ca, ou sur les réseaux sociaux. N’ayez crainte, il me fera plaisir de vous répondre avec diligence. Votre histoire pourrait aider un travailleur autonome en devenir, alors je vous invite à la partager avec nous dans LA COULISSE.

Je vous souhaite une bonne réflexion, des affaires prospères, et une abondance de poussières de bonheur!

N’hésitez pas à commenter la présente réflexion, et à partager ce lien avec vos amis et collègues.

Michel A. Di Iorio
Rédacteur en chef et fondateur de LA COULISSE
Rédaction et publicité : 514.994.0967
info@lacoulisse.ca

PS — Pour faire partie de ma nouvelle liste de distribution, veuillez m’envoyer un courriel à : info@lacoulisse.ca avec la mention « abonnez-moi ». C’est gratuit!

Références et lectures complémentaires

Sources et guides

Médias écrits

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N.B. L’utilisation du genre masculin a été adoptée afin de faciliter la lecture et n’a aucune intention discriminatoire.

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