« Faire ce qu’on aime, c’est la liberté. Aimer ce qu’on fait, c’est le bonheur . » — Inconnu
« Pour moi, la liberté et le bonheur sont synonymes! » — Di Iorio
Les COULIS de SAGESSE
Aimer ce qu’on fait, ou faire ce qu’on aime?
Aimez-vous ce que vous faites? Ou plutôt, faites-vous ce que vous aimez? Ces deux questions sonnent pareilles pour le commun des mortels, mais leurs sens profonds sont diamétralement opposées, car la première suppose que vous vous contentez de ce que vous avez, tandis que la deuxième suppose que vous faites que ce qui vous plaît. Pourtant, on dirait la même question. C’est étourdissant, n’est-ce pas?
La réponse ne déterminera pas votre degré de bonheur, car selon André Gareau, conférencier, auteur et psychothérapeute québécois, vous pouvez aussi bien connaitre le bonheur à titre d’employé qu’à titre d’entrepreneur. « Il n’y a aucun doute que tous ceux qui ont la possibilité d’exercer un métier qui leur plaît et surtout de le faire dans un cadre qui soit à la fois enrichissant et valorisant jouissent de conditions idéales. Mais de là à penser qu’il faut cela pour être heureux, c’est un peu comme dire qu’il faut être beau, jeune, riche et en santé pour avoir du succès dans la vie. Nul doute que ce sont là de gros avantages. Mais si l’on commence à croire que telles sont les conditions du succès et donc du bonheur, autant dire adieu la planète pour le commun des mortels! »
Bien que je partage l’avis de monsieur Gareau, et je reconnais la logique de sa déclaration, il y a une différence fondamentale entre les deux énoncés en titre, et à moins d’être contraint à un choix spécifique pour des motifs qui échappent à notre contrôle, notre choix de carrière définit l’encadrement de notre épanouissement professionnel, et traduit l’importance que nous accordons à ce volet dans nos priorités de vie.
Aux fins de ma réflexion, disons que la vie équilibrée se divise en trois grands volets, soit la vie familiale, la vie personnelle et la vie professionnelle. Si vous êtes une personne visuelle, imaginez chacun de ces trois volets représentés par un anneau. La vie équilibrée est donc représentée par l’entrelacement de ces trois anneaux à la façon du drapeau olympique, avec l’anneau du centre divisé en trois parties égales, représentant l’équilibre. Chaque anneau fait de la place aux deux autres, et même si les proportions fluctuent au gré du vent, dans l’ensemble tout se balance.
Ce qui veut dire?
La réponse courte est que la crème glacée au beurre de pinottes ne plaît pas à tout le monde, et c’est bien ainsi, car la vie serait ennuyante si tout le monde avait les mêmes goûts, les mêmes besoins, les mêmes aptitudes et les mêmes objectifs, surtout s’ils ne sont pas les vôtres. On ne ferait pas long feu avant de se lasser de ce marathon fastidieux, lui préférant sans doute la marginalisation plutôt que l’assimilation. Nous ne sortons pas tous du même moule, alors tous comptes faits, il y a de la place pour la diversité.
Le travail autonome (l’entrepreneuriat) nous offre comme défi de nous extirper du moule de la conformité pour tracer notre propre voie au lieu de piétiner le même sentier en terre battue que les autres. Il nous offre la possibilité de nous réaliser au travers de nos propres efforts, nos propres erreurs et nos propres découvertes. Son menu varié prévoit le brasier de nos objectifs, agrémenté de l’essence de nos priorités, et baignant dans la sauce onctueuse de notre rythme personnel.
Certes que je ne parle pas d’un filet mignon, et je ne prétends nullement que l’aventure soit aussi agréable au palais, mais elle offre comme appât le plaisir de la réalisation de soi, le sentiment d’avoir tout tenté dans la poursuite de nos rêves, l’opportunité de faire notre possible pour les atteindre, et pour les plus persévérants, elle offre la récompense d’une bonne table garnie des fruits de nos labeurs.
Il n’y a aucune garantie de réservation en notre nom à la table des élus, et le maître d’hôtel est chargé de bien scruter la liste des invités, mais comme toute aventure qui vaut la peine d’être vécue, celle du travailleur autonome est parsemée de risques et périls qui lui sont propres. La seule garantie offerte est que nous en tirerons des leçons à la mesure de nos efforts.
C’est donc à nous de les rentabiliser, et à décider si l’on aime ce qu’on fait, ou si l’on fait ce qu’on aime!
Et vous? Aimez-vous ce que vous faites, ou faites-vous ce que vous aimez?
Michel A. Di Iorio, fondateur de LA COULISSE
Sources et références
- Entrevue de Geneviève Young avec le fondateur de LA COULISSE
- Faut-il aimer son travail pour être heureux?
- Faire ce qu’on aime et aimer ce qu’on fait
- The Tragedy of Selling Yourself Short
- Outils Web
- Sources et guides
- Besoin d’un site Web? On s’occupe de tout…
- Guide pour travailleurs autonomes
- Réussir dans la vie : une aberration psychologique ?
- 6 Facts You Need to Know About Starting Your Own Consulting Business
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