« Écrire est une navigation sur la terre ferme,
la page blanche est une voile qu’on hisse;
les mots, un sillage qui s’efface… » —
« La page blanche invite à l’aventure de son écriture… »
— Michel A. Di Iorio
Les COULIS de SAGESSE
Une réflexion sur le travail indépendant, sur la vente, et le service à la clientèle… signée Michel A. Di Iorio.
La page blanche… vous la connaissez?
(Temps de lecture = moins de trois minutes)
Tous les pousseux de crayons, sans exception, ont vécu ce dilemme, dont la crainte peut conduire les plus coriaces au seuil du cauchemar. C’est à peu près ce qu’il y a de pire pour un rédacteur, soit le fond de son pot de « Cheez-Whiz © ». Le travailleur de bureau, l’adjointe administrative, le responsable de la communication, et j’en passe… ont tous connu une panne d’idées ou de solutions, un blanc/trou de mémoire, ou une panne d’envie tout court; dont le redouté « syndrome de la page blanche ».
Pour le travailleur autonome moyen, le « syndrome de la page blanche » équivaut, pour les uns, aux dilemmes opérationnels découlant du quotidien, des dilemmes pour lesquels les solutions d’usage n’arrivent pas tout à fait à résoudre les différends. Pour les autres, il peut s’agir de problèmes de logistique, de continuité, ou même de financement (très existentielle comme réflexion, n’est-ce pas?).
Peu importe sa cause, nous avons tous été les victimes, à un moment crucial quelconque, du « lapsus », ce trou de mémoire qu’on cite comme un symptôme de fatigue, ou d’épuisement. Ce n’est pas un crime d’en être tombée victime! C’est une étape parmi d’autres du processus de création, et de réalisation… une étape normalement précédée d’une grande fébrilité, et suivie d’une période analogue d’accalmie.
Le moment de vérité redouté se dessine et se précipite. Pas moyen de l’esquiver, celui-là. Il est rusé, perspicace, et coriace. Il est infiniment plus patient que vous, déjouant, comme le fin stratège qu’il est, vos mécanismes de protection! Le dilemme à résoudre n’a rien de nouveau. Il s’agit d’une version « copier-coller » de votre quotidien, vue de votre perspective… le reste n’étant que de la poudre à jeter aux yeux des curieux…
Il s’agit de la fatigue, plus spécifiquement de l’épuisement ressenti à certaines périodes de l’année, l’apathie saisonnière (le cafard) qui nous rattrape le moment venu. Il est aussi prévisible que la visite hebdomadaire d’un vieil ami. Découlant du phénomène associé à la privation de rayons lumineux durant la saison hivernale, une baisse automnale d’énergie vitale est plus ou moins normale. À moins de posséder des antécédents médicaux (bipolarité, schizophrénie, ou borderline), vous devriez vous en remettre sans trop de problèmes. Dans le cas contraire, je vous conseillerais de consulter votre spécialiste de la santé.
Je lisais un billet qui citait Élisabeth Ivanovsky, une peintre et illustratrice reconnue pour ses nombreuses illustrations d’histoires pour enfants. Madame Ivanovski disait de la page blanche que « devant elle, tout était possible. » Il s’agit d’une autre question de perspective, n’est-ce pas? Malgré que j’ai bien couvert le sujet la semaine dernière, j’y reviens, car le cafard qui s’empare de moi depuis ce matin est venu illustrer le besoin de se changer les idées, surtout quand on tourne en rond à se demander la direction du nord.
L’essentiel de mon message tournait autour du paradoxe de se laisser changer les idées pour avoir les idées plus claires. Pour illustrer mon propos, je suis naturellement retombé sur les mots. La rédaction d’un texte peut être une véritable joie pour l’auteur, ou le pire des calvaires, selon le cas. Je les utilise pour tirer une comparaison avec votre domaine d’activités afin de mieux apprécier ses hauts et ses bas, ses joies et ses peines, ses victoires, ses défaites, et, etc. De temps à autre ça demande un ajustement de perspective pour nous permettre, ainsi qu’à notre équipe, de maintenir le cap, ou en définir un nouveau, selon le cas.
Voilà! Un message simpliste de vous laisser changer les idées pour avoir les idées plus claires. Quand la plage blanche monopolise jalousement vos rêves pour ensuite se permettre d’aller narguer vos élans d’écriture du lendemain… il est temps de vous changer les idées.
Le cafard sert à vous communiquer un besoin de faire le vide/faire le plein, selon le cas. Ce matin, son rôle semble vouloir nous rappeler que c’est normal d’avoir le cafard de temps à autre. Son rôle est légitime, permettant l’introduction de perspective dans l’équation.
Les mots justes… un rappel amical!
La gaffe, et la solution…
La gaffe, si elle existe, est de se culpabiliser pour un malaise cyclique connue? Si la question vous préoccupe, vous devriez vous adresser à votre médecin de famille, ou autre professionnel de la santé.
La solution, selon moi, consiste à se laisser tenter par le besoin de faire le vide afin de se changer les idées. Cela peut s’opérer en changeant momentanément d’activité, en allant prendre une marche, en regardant dehors par la fenêtre. L’idée est de briser le modèle.
La contrainte, si contrainte il y a, réside principalement dans la crainte que son état est dû à une maladie, ou au mauvais temps, n’exigeant aucune intervention de votre part. Certes, vous pouvez choisir d’ignorer les symptômes, mais vous aurez tout à gagner de vous lever et d’aller vous changer les idées.
Mon opinion personnelle — Je crois que la vie est trop courte pour être vécu en se prenant trop au sérieux. Il n’y a pas de coupon différé (rain check) pour la vie, alors il vaut mieux ne pas manquer son coup…
Aux futurs entrepreneurs, il y a toujours moyen de mettre les chances de votre côté en vous préparant adéquatement, tout d’abord, et en évaluant la pertinence des outils et liens qui vous sont offerts ICI.
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Mise en garde
Prenez garde de ne pas laisser votre témérité mettre la sécurité de vos proches ni la vôtre en péril, car il n’existe aucune police d’assurance contre l’échec, et le parcours du travailleur autonome est parsemé d’embûches contre lesquelles vous feriez mieux de vous préparer.
Il n’est pas de mon intention d’endosser un quelconque service ou organisme en rédigeant ce billet. Mon intention fut de vous soumettre ma perspective sur les questions soulevées, et de vous offrir quelques pistes de solutions pour vous aider à voir plus clair.
Voilà l’essentiel de ma réflexion. Je vous souhaite la sagesse de Confucius, la vision de Murphy, la chance de Midas, et le temps de vous tricoter le succès que vous convoitez.
Pour les travailleurs autonomes en devenir ou actuels, je vous offre les liens ci-dessous pour vous aider dans vos démarches de recherche.
Mot de la fin… (RESSOURCES)
Pour vous aider dans vos recherches, LA COULISSE met à votre disposition une multitude de liens vers des sites de ressources légales, gouvernementales, techniques, financières, outils en ligne… ICI, ICI et ICI! L’accès vers ces ressources depuis notre site Internet est offert gratuitement, et n’arrêtez pas de lire, car les sections ci-après offrent des outils supplémentaires.
Voilà, c’est à vous de jouer maintenant!
Merci de m’avoir lu. Je vous souhaite une bonne réflexion, une démarche fructueuse, et surtout… une bonne vie!
Michel A. Di Iorio, fondateur de LA COULISSE
Qu’en pensez-vous?
Tout le monde a une histoire à raconter. Si vous désirez partager les opportunités qui ont marqué votre parcours, écrivez-moi à info@lacoulisse.ca, ou sur les réseaux sociaux. N’ayez crainte, il me fera plaisir de vous répondre avec diligence. Votre histoire pourrait aider un travailleur autonome en devenir, alors je vous invite à la partager avec nous dans LA COULISSE.
Je vous souhaite une bonne réflexion, des affaires prospères, et une abondance de poussières de bonheur!
N’hésitez pas à commenter la présente réflexion, et à partager ce lien avec vos amis et collègues.
Michel A. Di Iorio
Rédacteur en chef et fondateur de LA COULISSE
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N.B. L’utilisation du genre masculin a été adoptée afin de faciliter la lecture et n’a aucune intention discriminatoire.
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