« Les opportunités apparaissent le plus souvent sous la forme de malchance
ou d’échec temporaire… » — Napoléon Hill
« L’échec, la faillite et un égo froissé sont parfois le prix à payer pour atteindre le succès qui nous guette dans le tournant… » — Michel A. Di Iorio
COULIS de SAGESSE de LA COULISSE
Parlons d’opportunités…
Une réflexion signée Michel A. Di Iorio
Le dictionnaire Larousse de la langue française définit le mot opportunité ainsi : qualité de ce qui est opportun, de ce qui vient à propos : Discuter de l’opportunité d’une démarche. Occasion favorable : Saisir une opportunité quand elle se présente…
La semaine dernière je vous écrivais au sujet de la vitrine virtuelle offerte par LA COULISSE aux travailleurs autonomes pour s’afficher devant leurs pairs. Je dévoilais, de façon sommaire, les grandes lignes de cette opportunité pour attirer des collaborateurs, des pigistes, des fournisseurs et/ou de nouveaux clients.
Pour donner suite à cet exposé, ainsi qu’aux propos véhiculés sur la notion de l’opportunité, ma réflexion s’est portée sur la citation de Napoléon Hill (située en dessous de l’image de la clé, en haut de la page), soit « Les opportunités apparaissent le plus souvent sous la forme de malchance ou d’échec temporaire », et mon petit hamster s’est mis à courir…
J’ai fait un survol des malheurs qui se sont greffés à ma propre feuille de route au cours des années, histoire de voir si cette règle était universelle ou de la pure foutaise, et j’ai réalisé que mes meilleures opportunités se sont effectivement manifestés aux suites de profonds malheurs personnels/professionnels, sinon des tourmentes qui découlaient des décisions qui s’imposaient, le tout me portant à croire en la quasi-universalité de l’application du principe énoncé par la citation de Napoléon Hill.
Malgré le caractère plutôt personnel de mes anecdotes, elles offrent des leçons de vie précieuses. Les murs et tablettes de mon bureau sont généreusement garnis de souvenirs amassés sur mon parcours professionnel, me rappelant les étapes franchies avant de m’asseoir dans ce fauteuil pivotant et berçant, à l’opposé de l’inconfort associé à la chaise droite en bois que je polissais avec mon fessier pendant mon retour sur les bancs d’école.
En faisant le tour de ces souvenirs, je n’éprouve aucune difficulté à me remémorer les insatisfactions d’une jeunesse tourmentée par les mœurs caméléonesques d’une génération, les iniquités d’une guerre qui ne bénéficiait pas d’un appui populaire, et la musique qui en découlait. Ce fut une époque où même les plus mal-assortis s’improvisaient comme poètes, musiciens et prophètes de malheur, et le public avalait tout comme du pain.
Cette période s’est soldée par une volte-face professionnelle, d’où j’ai emboîté le pas dicté par mes ambitions et mes convictions personnelles. Mes choix de carrière m’obligeaient à retourner sur les bancs d’école pour mieux me préparer à ce que la vie m’offrait, tandis que mes choix personnels réclamaient les sous pour se réaliser.
Cela étant dit, la vie s’est chargée de placer de nombreux obstacles invraisemblables sur ma route, m’obligeant à envisager des voies alternatives pour réaliser mes objectifs de carrière. Lorsque j’ai pris comme décision de poursuivre une carrière dans le domaine préhospitalier, les salaires et conditions de travail laissaient encore beaucoup à désirer. Ma vocation me dirigeait obstinément dans cette direction, car j’avais un fils malade. En bon père de famille, je voulais être prêt à toute éventualité pour lui porter secours au besoin. J’ai fait le saut, laissant derrière moi un poste de direction dans une entreprise d’envergure, un salaire annuel et des conditions de travail enviables… le tout en échange d’un poste qui ne m’offrait dans le court terme qu’une fraction de ce que j’abandonnais, bien que le sort voulut que je retrouve, en temps utile, une bonne partie de ce que j’avais perdu en quittant mon emploi. J’étais loin de me douter qu’il (le sort) m’attendait encore de pied ferme…
Une dizaine d’années plus tard, j’ai subi une blessure importante à la colonne vertébrale en tentant de porter secours à un bénéficiaire morbidement obèse qui vivait au troisième étage d’un immeuble à logements de Verdun. La blessure m’empêchait de réintégrer mes fonctions à une époque où il n’existait pas encore de mesures concrètes pour favoriser le recyclage des éclopés en devoir, alors je me suis recyclé dans un domaine que je connaissais bien, soit la communication. Cette décision m’a amené, en empruntant un sentier sinueux parsemé d’embûches et de retours sur les bancs d’école, à exploiter mon entreprise actuelle depuis le tournant du siècle.
Vous savez, la vie se charge de nous offrir des opportunités à tour de bras, mais on ne peut les reconnaitre que si on a l’esprit ouvert au changement, ce qui invite sérieusement à retirer les œillères de complaisance fixées par l’éducation populaire, et passer outre la peur de faillir. L’échec, la faillite et un égo froissé sont parfois le prix à payer pour atteindre le succès qui nous guète dans le tournant…
Si vous désirez partager les opportunités qui ont marqué votre parcours, je vous invite à commenter au bas de ce billet, ou sur les réseaux sociaux. Je vous souhaite une bonne réflexion, des affaires prospères et une abondance de poussières… de bonheur et de réussite!
N’hésitez pas à commenter la présente réflexion, et à partager ce lien avec vos amis et collègues.
Michel A. Di Iorio
Rédacteur en chef et fondateur de LA COULISSE
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